ABERNATHY F. _____ vanitas vanitatum & omnia vanitas

Messages : 122 Date d'inscription : 13/07/2009

Your identity

▬ Nom & Prénom :

Francis

▬ Surnom :

▬ Date & lieu de Naissance :

▬ Age :

▬ Avatar :

DORNAN Jamie.

▬ Groupe :

Don't care about the fairytale.

Dirty little secret

▬ Secrets :

•••

rock'n'roll

vivre

•••

addict

And you

▬ Prenom; Surnom :

▬ Ou as tu connu le forum :

Bazzart

boîtes mails

Back To Basics

Demande de partenariat

Nouveau message

▬ Commentaires :

Commentaires

S

Messages : 91 Date d'inscription : 12/07/2009

BIENVENUE!

Messages : 62 Date d'inscription : 13/07/2009 Localisation : N-Y

GOOOOSSSSSH Jamie

Bienvenue

Messages : 122 Date d'inscription : 13/07/2009

MERCI LES FILLES WOOO

Et j'avoue que Jamie... ohlala

Messages : 91 Date d'inscription : 12/07/2009

Jamie c'est un très bon choix LOVE

Messages : 122 Date d'inscription : 13/07/2009

Surtout que ça fait longtemps qu'on le voit plus sur les forums Shocked

Messages : 36 Date d'inscription : 12/07/2009 Age : 32

Bienvenue à toi .

Bon choix d'avatar .

Messages : 122 Date d'inscription : 13/07/2009

HUM, merci ohlala

Et puis, Kirsten c'est pas mal non plus (ça fait penser au cast de Marie Antoinette mdr

)

Messages : 122 Date d'inscription : 13/07/2009

ABERNATHY F. _____ vanitas vanitatum & omnia vanitas Jamie_27

made by misery angel

Your Story

▬ Histoire :

L’histoire de la famille Marshbank Abernathy n’a rien d’extraordinaire, elle est même plutôt banale et dérisoire. Madame a rencontré Monsieur lors d’une grande soirée pompeuse que connaît si bien les grands londoniens. Madame connaissait déjà Monsieur, car la famille de Madame était amie avec celle de Monsieur. Et les deux jeunes gens firent plus ample connaissance lors de cette réception. Du moins, ils se promirent un amour extraordinaire que personne d’autre qu’eux ne connaîtrait et ferait pâlir d’envie Bonnie et Clyde. Et puis, évidement, les familles furent ravies, un mariage s’organisa après l’université, et le premier enfant, qui sera également le dernier arriva. Mais avec le temps, Madame s’ennuya de Monsieur qui de toute façon travaille trop, alors elle s’occupa dans un premier temps de son enfant chéri, son merveilleux Francis, son seul héritier. Madame ne vivait alors plus que pour son amour chéri, et puis elle découvrit les joies du voyage. Son premier voyage l’envoya en Bretagne, elle y apprit l’art du laisser aller et puis revint à Londres où Monsieur eut sa première promotion. Puis Madame partit pour New-York et s’y trouva son premier amant, de retour en Albion, elle fut ravit d’apprendre que cette fois toute la famille se retrouverait dans l’Upper East Side suite à la seconde grande promotion de Monsieur.

***

Avec le temps, Madame Abernathy trompa plus d’une fois son mari mais se sépara de son amour des liaisons dangereuses et finit par devenir fidèle. Trouvant assez de divertissement dans les lois de la haute société new-yorkaise. Le jeune et unique héritier Abernathy eut la chance de faire ses études éloigné le plus possible du cocon familial, dans une école aussi privée que select où il commença à apprendre le grec et qui se trouvait dans la regrettée Albion. A la fin de ses études, hésitant dans le choix des universités anglaises, il finit par réclamer à ses parents le droit de venir habiter avec eux, quitter une bonne fois pour toutes ces internats affreux, jamais assez bien à ses yeux. Finalement, Francis s’inscrivit dans une université du Vermont, qui au final, n’était pas très éloigné de ses parents et lui laisser à la fois l’espace dont il avait besoin, dormant dans un petit appartement loué dans les environs du campus, et rentrant chez lui le week-end. Puis il finit par se lasser des grandes études.

« La beauté, c’est la terreur. Ce que nous appelons beau nous fait frémir. Et que pouvait-il y avoir de plus terrifiant et de plus beau, pour des âmes comme celles des Grecs ou les nôtres, que de perdre tout contrôle? Rejeter un instant les chaînes de l’existence, briser l’accident de notre être mortel? »

En fait, ils étaient cinq dans ces merveilleuses université à faire du Grec. Tous des enfants de la haute société, tous extraordinairement attirants et merveilleux vu de l’extérieur mais complètement fêlés quand on apprenait à les connaître. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles ces cinq là ne se mélangeaient jamais aux autres élèves de leur université qui était pourtant connue pour être une université luxueuse pour tous les enfants de riches qui était un peu trop fêtard ou excentriques sur les bords pour rejoindre les rangs de Yale ou de Harvard comme Papa et Maman. A eux cinq, ils ont vécut un peu tout ce que l’on peut vivre lorsque l’on est jeune. Tous les dimanches ils avaient l’habitude de se retrouver chez l’un d’eux pour dîner, puis ils se trouvaient souvent à l’improviste, jouant aux cartes, travaillant ensemble, buvant du Gin dans des tasses de thés. C’est lors de ses études dans cette université que le jeune Abernathy devint quasi-alcoolique. A eux cinq ils descendaient des litres de Bourbon, de Gin, de Bailey’s, de Whisky et autres très bons alcools qu’ils achetaient une fortune et le tout accompagné de cigarettes, des paquets entier de cigarettes par jour. Étant tous très cultivés et de la haute société, ces cinq là se sentaient souvent opprimés par les apparences, et puis un jour, la bonne idée, ou du moins ce qui semblait être une bonne idée, de se laisser complètement aller à la déchéance la plus totale les prit. Et ils se retrouvèrent dans un tel état qu’il leur arriver que très rarement d’assister au peu de cours qu’ils avaient, n’assistant souvent qu’aux cours de Grec ancien. Sauvant tout de même les apparences, comme leurs mères leurs avaient apprit, et ne sortant jamais de chez eux sans être présentables.

« C’est ainsi qu’il mourut, et toute la vie jaillit de son corps; et en mourant il m’éclaboussa d’une sombre et violente pluie de sang au goût amer pour me réjouir, de même que les jardins se tiennent glorieusement sous les averses divines à la naissance des bourgeons. »

Et puis, il y avait cette fille, la seule fille de leur petit groupe fermé. Elle était divinement belle. Incroyablement intelligente, et peut-être trop manipulatrice au fond. Il n’empêche que le jeune Abernathy ne put résister bien longtemps et s’éprit de la jeune demoiselle en moins de temps qu’il en faut pour se l’imaginer. Les quelques années qu’ils passèrent ensemble furent merveilleuses. Toujours ensemble, à se cacher d’abord des autres, puis à rechercher l’isolation. Savourer leur jeunesse, parcourir les fêtes ensembles, se lancer les défis les plus fous et surtout, toujours les relever. Leur amourette était sincère et pleine de jeunesse, mais très vite ils se lassèrent de ce train-train ennuyeux. Ils avaient cette peur irrépressible de finir aussi plats que leurs parents. Et très vite il était devenu indispensable de trouver un remède. La belle et vénéneuse nymphe trouva la solution, et se fit bien plus cruelle que n’importe quelle autre jeune fille ne pouvait l’être. Elle décréta que les tout petits paris qu’ils se lançaient ne suffisaient plus pour pimenter leur vie à deux. Pour se sentir vivre, il fallait qu’ils ressentent de fortes émotions, et quoi de mieux pour cela que de faire mal à l’autre? D’abord des petits pics, puis pour finir, un vrai mal, de plus en plus fort, chacun répondant à l’attaque de l’autre. D'ailleurs, il est indéniable que le jeune est complètement différent depuis qu'il est passé par cette université. N'est-il pas blessé pour de vrai? Ou bien n'est-ce qu'une posture qu'il prend lorsqu'il se perd, le regard au loin? Personne ne le sait vraiment, mais le changement est palpable.

Et puis, finalement, les études étaient terminées. Francis Abernathy eut son diplôme avec des résultats plus ou moins corrects, mais excellents en grecs ancien, et finit par rejoindre ses parents dans l’Upper East Side qu’il connaissait si peu, vendant son petit appartement et ne prévenant personne. Une nouvelle vie? Un nouveau départ?

▬ Caractère :

Bien qu’étant une personne on ne peut plus extravagante, Francis Abernathy a été élevé, comme tous les enfants des grandes familles régnant sur l’Upper East Side, dans la foi chrétienne. Sans doute parce qu’il n’avait pas le choix, Francis a toujours ces valeurs enfouit en lui et tente plus ou moins de les respecter.

Mais cette histoire de religion ne change rien au fait que Francis est une personne plus ou moins exceptionnelle. Peut-être parce que depuis sa plus tendre enfance on lui rappelle les codes sociaux et les bonnes manières à avoir en société, mais le jeune Abernathy se montre continuellement d’une politesse incroyable, mais toujours modérée. Peut-être est-ce seulement parce qu’il sort d’une bonne famille. Mais le jeune homme tient à cette politesse qu’il recherche forcement dans tous ses amis et même connaissances. Ne pas faire preuve de politesse est pour lui comme un affront. Mais chez Francis, la politesse et la gentillesse aussi sincère que formelle, laissent souvent place à son côté sulfureux. En effet, le jeune homme n’est pas simple, n’est pas un gentil jeune homme bien élevé qui peut supporter n’importe quel affront. Il arrive d’ailleurs extrêmement souvent que le jeune homme s’énerve, s’emporte, pour un rien, du moins du point de vue des autres, car pour lui, un rien peut devenir une grave agression. Aussi gentil et doux qu’un jeune agneau, le dernier Abernathy est capable de s’emporter à la moindre remarque et être la personne la plus détestable, méchante, sarcastique et blessante que vous n’avez jamais rencontré. Peu de personnes comprennent comment il faut agir avec lui, ce qui l’énerve autant, mais ses quelques vrais amis sont au courant et évitent le plus possible de lui laisser l’occasion de montrer son côté agressif.

Poli, agressif, gentil. Mais aussi extrêmement maniéré. Souvent, lorsqu’il débutait à peine ses études dans l’Upper East Side, on le croyait venu d’une de ces familles aristocratiques londonienne qui sont reliées à la royauté tant il était maniéré. D’ailleurs tout le monde s’étonne en l’entendant parler, lui qui a plutôt le physique d’un mannequin qui aurait réussi à rentrer dans la haute société, de son drôle d’accent qui fait plus aristocrate anglais que jeune premier New Yorkais. D’ailleurs, on le trouve souvent assez snob, bien qu’il l’accepte totalement et la plupart des gens qu’il rencontre trouve ridicule le soin qu’il apporte à sa garde robe et l’art et la manière d’associer les vêtements, tissus et divers motifs. Et quoi de plus pédant qu’un jeune homme en magnifique costume, et jamais en jean s’il vous plait, qui fume cigarette sur cigarette, cachant son regard embrumé derrière un pince-nez à l’ancienne, et vous parlant avec cet accent aussi adorable que snob qu’ont les aristocrates anglais?

Mais au fond, Francis est quelqu’un d’adorable. Il n’est que très rarement méchant avec les gens, toujours extrêmement poli, toujours le premier à vouloir rendre service sans jamais penser à demander un retour. Il faut juste lui accorder le fait qu’il est tout de même un peu étrange et ne se laisse jamais réellement approcher par quiconque. D’ailleurs, il est souvent perdu dans ses lectures trop diverses et trop recherchées pour intéresser les inconnus qui tentent de venir lui faire la conversation. Mais ça, Francis n’y peut rien, il adore la littérature et ne peut pas se passer de ses lectures et surtout de ses livres grecs. Et puis, au fond, Francis Abernathy n’est qu’un jeune homme de la haute société new-yorkaise comme il en existe beaucoup. Gentil, aimable, sensible, cultivé, intelligent mais aussi en quête d’un renouveau perpétuel. De nouvelles sensations, de nouveaux interdits à franchir, de nouvelles conquêtes. Une sorte de vicomte de Valmont nouvelle génération. Et il faut dire que du côté des conquêtes et du sentimentalisme, Francis a tout d’un Valmont.

Messages : 122 Date d'inscription : 13/07/2009

Désolé pour le... triple post ( 2828

) mais je pense avoir terminé 2626

Messages : 33 Date d'inscription : 11/07/2009

Parfait, validé

Admin Messages : 139 Date d'inscription : 06/07/2009 Age : 33

JAAAAAAA-MIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Bienvenue!

Un lien hein

PS; Il sont tres bien nos smileys

» ABERNATHY F. _____ le monde est plus joli lorsqu'il est vêtu en Hermès